Inde

Delhi la surpeuplée, Agra - la ville poubelle, Taj Mahal le majestueux, Varanasi et son mysticisme ... Calcutta, les villes du Rajasthan, Laïpur, Jodhpur, Udaipur, Jaisalmer.
Et... les trains !

Immersion dans un autre monde

L’inde : on aime ou on aime pas !

​Résolument, je ne suis pas fan ! Ni de ce que j’ai eu l’occasion de découvrir en Inde, ni des habitants.

Lorsque nous avons décidé de voyager en Inde, j’ai eu beau me préparer en lisant, en regardant des vidéos, des reportages … je n’étais finalement pas du tout préparée à me trouver plongée dans un monde à mille lieues de ce que j’ai pu imaginer.

​Si l’on me demande : « Mais enfin, pourquoi l’Inde ? » … Je réponds : « L’envie de mon mari d’y retourner et de me faire découvrir les endroits qu’il avait aimés, mon envie de découvertes sans à priori ni préjugés, l’envie de voyager autrement, de manière moins simple et arrangée … « .

​Aujourd’hui je ne sais pas quels arguments pour je pourrais avancer à qui voudrait voyager dans le nord de l’Inde.

​En effet, à part quelques endroits spécifiques tels que le Taj Mahal à Agra, le Palais des Vents à Jaipur, l’ambiance un peu mystique de Varanasi, … où que mes yeux se posent, ils ne rencontrent bien souvent que de la décrépitude, de la saleté, de la surpopulation, de la sur-pollution et une terrible sensation d’oppression, d’être toujours dans le chemin de quelqu’un ou de quelque chose.

​Je ne m’habitue pas au bruit incessant des milliers de klaxons; c’est infernal et terriblement stressant à tout moment et dans toutes les villes par lesquelles nous sommes passés.

​Quant aux habitants, je ne les trouve ni très sympas, ni très souriants, ni très ouverts …

Le civisme n’est pas leur fort, ni le savoir-vivre. Je les ai trouvés souvent impertinents dans leur manière de nous dévisager, voire pour certains concupiscents. Cela m’a mis mal à l’aise à certains moments, après je les dévisage de la même manière impertinente. A celui qui détourne les yeux !

Il ne sont pas méchants … mais ils ne sont pas sympas. C’est à croire que le gène « sourire » n’a pas été activé !

​Tout ceci n’est pas une généralité, mais cela concerne quand même une grande majorité.

​Pour les autres, il y a les sourires des enfants, les passants qui se prêtent volontiers au jeu de la photographie, et ceux qui nous abordent pour le énième selfie en leur compagnie 🙂

​Notre voyage en Inde reste, malgré tout, une expérience que je suis contente d’avoir vécue car nous l’avons faite à 2 et que, comme toute découverte, cela en valait la peine.

​On a adoré : la street food ! Les fritures, les samosas, les beignets de pommes de terres aux piments, les momos … ça déchire ! On ne sait pas trop l’âge de l’huile de friture, mais qu’est-ce que c’est bon. Donc on se fiche de savoir si c’est de la 2 temps ou pas, on s’empiffre :-).

​Signature India !

Gen et Pierre

Dehli

Premiers bains de foule

Nous atterrissons à l’aéroport de New Delhi à 2h30 du matin. Pour qui n’est jamais venu en Inde, ce n’est, en fin de compte, pas une mauvaise chose. Cela me fait prendre connaissance avec le « big Indian mess » en douceur.

​Notre chauffeur nous attend à la sortie sans oublier de nous dire qu’il poireaute depuis 2 heures. C’est, en effet, le temps nécessaire pour récupérer nos valises et passer la sécurité, l’immigration (photo, empreintes digitales et tout le toutim).

​Le lendemain, après une très courte nuit, c’est le moment de penser à régler la problématique de nos billets de train pour la suite de notre itinéraire. Impossible de se connecter et de réserver de Belgique.

​L’hôtel dispose d’un bureau de réservation. Malheureusement, après plusieurs tentatives, l’employé nous fait comprendre qu’il ne peut rien faire pour nous. Le site reste inaccessible. Nous apprenons que de nombreux trains ont été annulés dû au brouillard. C’est probablement vrai dans une certaine mesure mais nous allons apprendre, à nos dépends, à quel point nous sommes vulnérables ! Touristes et blancs que nous sommes …

Nous nous mettons en route vers la gare.

Déboussolés par la dynamique de la ville, du tourbillons des gens, vulnérables car fatigués par le voyage, stressés par l’organisation de la suite, nous sommes rapidement entraînés dans un engrenages de contacts et d’intermédiaires qui nous mènent droit vers un tour opérateur « officiel » paraît-il. Nous qui pensions simplement trouver un guichet de gare et nous débrouiller. Nous voilà face au premier attrape-touristes !

​Le même discours nous attend ; impossible de réserver les trains vers Agra et Varanasi SAUF si nous achetons un package incluant les trains dont nous avons besoin + quelques nuits d’hôtels + 2 trajets en voiture … Pris par le temps, nous nous concertons fort peu longtemps et acceptons … Pas envie de se casser la tête, de devoir changer les projets, pas envie de sortir de sa zone de confort … enfin si, car voyager en Inde, l’est déjà … mais pas trop quand même.

​Ce marché étant conclu, signé et payé, nous bénéficions des services du chauffeur pour nous faire faire le tour de la ville pendant que notre itinéraire s’organise.

​Le chauffeur n’apprécie pas trop que nous voulions nous engouffrer dans le vieux Delhi. Trop dangereux d’après lui. Il aurait préféré nous faire visiter la partie moderne, plus touristique, plus photogénique … mais à 2, nous faisons de la résistance et exigeons notre tour à notre goût 🙂

A voir / A faire dans les environs

LE TEMPLE DU LOTUS

 

Après le bain de foule et de bruit, une visite culturelle et rafraîchissante au Lotus Temple.

Situé non loin de Delhi, ses jardins sont une occasion de promenade agréable.

 

Après cette visite reposante, il est l’heure de rejoindre l’agence et de réceptionner notre « dossier » de voyage.
Nous attendons un certain moment – car les minutes indiennes n’ont pas la même valeur temps que la nôtre – 2 minutes deviennent rapidement 2 heures.

​En Afrique, il y a le « Hakuna Matata ». Et bien en Inde, il paraît que cela s’appelle « Signature India ».

​La journée se termine déjà; on est mort crevés!

Nous rentrons enfin à l’hôtel, nos documents en poche en espérant que la suite du voyage se déroule comme prévu.

The Prime Balaji Delux @ Dehli

Hotel de bonne qualité, propre, disposant d’un restaurant sur le toit (sans vue). Personnel sympathique, chambre très confortable et propre. Pas trop éloigné de la gare et de Connaugh Place.Navette gratuite de l’aéroport; bien pratique lorsque l’on arrive à 02.30 du matin.

Prix pour 2 personnes avec petit déjeuner : 57 euros

The Palms Town & Country Club

Nous recherchions un établissement pour nous reposer de ce voyage en Inde avant de reprendre l’avion. La chambre était parfaite, le personnel très coopératif et la nourriture parfaite. Calme et sérénité au rendez-vous. Dommage ! L’hôtel dispose d’une superbe piscine et je me réjouissais de pouvoir en profiter.  Ma déception fut grande de constater qu’elle n’ouvrirait qu’en avril !

Prix : 74 euro pour 2  pers, pt déjeuner compris

A recommander

Le Taj Mahal – Agra

Agra – Ville poubelle

Majestueux Taj Mahal !

Encore fringant et élégant aujourd’hui malgré ton grand âge, durant combien d’années nous offriras-tu encore ta blancheur, ton architecture parfaite et ta majestuosité ? 

Trop de touristes, trop de pollution, les nettoyages qui agressent ton marbre blanc,  le sol qui s’assèche et tes fondations qui s’affaissent.

Ravis d’être passés honorer ta beauté, nous ne pouvons cependant pas en dire autant de la ville qui t’entoure.

Sortis de l’enceinte qui te préserve, tu es entouré d’une ville poubelle, d’une ville d’égouts à ciel ouvert qui dégagent une odeur de déchets nauséabonds, mélangée aux gaz d’échappements de milliers de tuk-tuk, voitures, bus qui asphyxient la ville.  Même si les choses ont changé dans le périmètre du Taj Mahal : les voitures ne sont plus autorisées et les tuk-tuk électriques remplacent les tuk-tuk au gazoil.

Une plaine moitié terrain de jeux, moitié bidonville et les chauffeurs de tuk tuk qui harcèlent en permanence.

 Amis voyageurs, aucune raison de s’attarder à Agra.  Une journée suffit pour la visite du Taj Mahal et du Fort Rouge.  Passez rapidement votre chemin vers d’autres horizons.

Scènes de vie

A Agra, c’est la débrouille dans la crasse, la misère et la puanteur. De nombreux visages fermés, tristes des enfants qui vivent dans des bidonvilles au bord de la route, et cotoient les déchêts à deux pas de leur abris de fortune.

Majestueux Taj Mahal

TAJ MAHAL

 

Une des plus belles réalisations du monde.

On est bouche bée devant tant de perfection, de blancheur, de symétrie. Symbole de l’amour, il est pourtant le résultat d’un immense chagrin.

 

Taj Resort – Agra

Situé à 500 mètres à pieds de l’entrée du Taj.  Un chouette roof top avec une belle vue. Un orchestre live en soirée, très kitsch et surtout une musique très indienne un peu « boring ».  Pour finir, des tarifs au restaurant un peu surfaits.

39 euros la nuit pour 2 personnes, petits déjeuners inclus.

Varanasi – Ville Mystique

Des Hommes et des Dieux

Ayant salué et admiré le Taj Mahal, nous passons notre chemin et prenons le train pour Varanasi.  Une longue, très longue nuit commence.  

​19 heures de voyage pour environ 600 km.  Et oui, en Inde, on ne sait jamais où, quand et pour combien de temps, le train s’arrêtera au milieu de nulle part. Nous arrivons  avec 5 heures de retard par rapport à l’horaire prévu.  Il est déjà 3 heures de l’après-midi

Le chauffeur de tuk tuk nous plante au milieu de la foule impressionnante, prétextant qu’il est impossible d’aller jusqu’à l’hôtel, que ce n’est pas loin et que nous devons continuer à pieds. C’est clair que tout n’est pas accessible mais clairement il nous arnaque … et ce ne sera pas la dernière fois au cours de notre voyage. 

​Dès notre arrivée nous réalisons l’impressionnant bordel dans la ville ! Difficile de s’y retrouver sans un guide

​Après des tours et des détours dans les ruelles, accompagné d’un passant qui nous emmène (contre rétributions évidemment). Nous arrivons enfin à l’hôtel. Le temps de faire le check in, de déposer nos valises et nous partons pour une première découverte le long des « Ghats ».

Que sont les ghats ?

Le long du Gange

 La vie des indiens et hindous le long et dans le fleuve.

On s’y baigne, s’y lave, il est source d’inspiration à la méditation.

On y jette aussi les corps ou ce qu’il en reste. Triste fleuve poubelle

 

Pourquoi Varanasi ?

Lorsque l’on va à Varanasi, on pourrait faire l’histoire de la ville, sa spiritualité, étudier tous ses temples, connaître l’origine de tous ces ghats (car chacun a une histoire). Mais in fine, le plus important, c’est de s’imprégner de l’ambiance de ces endroits, de ces gens, participer à l’une de ces cérémonies où se mêlent pèlerins et touristes qui chantent et psalmodient d’une même voix.

​Qu’on y croit ou pas, on se laisse emporter par une ambiance spirituelle … on se fait aussi harceler par tous les revendeurs de tout et n’importe quoi. mais c’est bon de naviguer sur le fleuve au petit matin, découvrir la ville au lever du soleil.

​Entre nous soit dit … pauvre fleuve ! Mais tellement photogénique !

​Combien d’années lui faudrait-il pour évacuer toute cette crasse, cette pollution … pour devenir un vrai fleuve sacré ?

​Nous y avons croisé un occidental dont le but ultime de sa visite à Varanasi était de s’immerger dans le Gange, à l’instar des indiens … Ce mec a-t-il prévu un scaphandre ???

En remontant les ghats vers le centre de la ville, on découvre un monde différent, tout en contrastes … L’Inde typique, pittoresque, surpeuplée où l’on se balade au détour des ruelles, étroites, sinueuses, dans une ambiance où se mêlent les odeurs d’urine, de bouse de vaches, de cuisine.

Les sadhus sont assis le long de notre parcours, dans l’attente de quelques roupies sous l’oeil indifférent des vaches qui fouillent les détritus.

Mais qui sont les Sadhus ?

Les Sadhus

 

Ils n’ont pas de toit et passent leur vie à se déplacer sur les routes de l’Inde et du Népal, se nourrissant des dons des dévots.

 

 

Varanasi mérite que l’on y passe 2 ou 3 jours. Profiter de l’ambiance, du fleuve et prendre un peu de bon temps … s’imprégner de la spiritualité de l’endroit.

​Ne pas espérer manger un plat autre que végétarien, ni du vin, et de la bière parfois, mais elle se paie.

Varanasi était un bon moment !

Ce soir nous quittons Varanasi par le train de nuit et nous disons bye-bye à nos coloc de terrasse qui ne se gênent pas pour essayer d’entrer dans les chambres !

En route vers Calcutta.

Bhadra Kali Guest House

Nous avons logé au Bhadra Kali Guesthouse. C’était pas top.  A la base une guesthouse pour back packers et dans cette optique, à mon avis c’est bien.

Localisation  : parfaite, roof top vue parfaite sur le Gange Et vue super sympa

Le réceptionniste se veut de bonne volonté mais ne répond pas aux attentes. La vue depuis la chambre était réduite, par contre depuis le roof top parfaite. Le petit déjeuner (non-compris) est minimaliste et hors de prix, une certaine forme d’arnaque n’est pas à écarter. En outre, le patron est de mauvaise foi. En plus, peu ou pas d’eau chaude et wi-fi très aléatoire.

Donc hotel pas top pour le prix : 55 euros pour 2 nuits sans petit déjeuner.

Le seul côté sympa de l’endroit était nos petits visiteurs du matin.  Mais attention à fermer les portes, ils sont très curieux et voleurs 🙂

Petit clin d’oeil sur les trains en Inde

Notre trajet couvre environ 4700 km.  Et nous avons pris une fois l’avion de Calcutta à Jaïpur dans le Rajasthan.

Le train est résolument le moyen de transport le plus simple et surtout le moins cher.  Par ailleurs, il permet de voyager de nuit, vu que toutes nos destinations ont duré minimum 7 heures pour la plus courte, et 19 heures pour la plus longue de Agra à Varanasi.

Le problème des trains, c’est que l’on ne sait jamais quand, où et pourquoi, il fera un arrêt et l’on ne sait jamais combien de temps, il restera à l’arrêt.

A part cela, il faut aimer la promiscuité ! Et encore, nous avions des couchettes réservées en première classe ! Cela implique des draps propres, un oreiller, un couverture.

Dans la moindre des classes, les gens passent la nuit serrés l’un contre l’autre, à dormir assis pour la plupart.

On a partagé une couchette de 4, et notre voisin de « chambre » n’est pas du tout dérangé de partager notre carré avec un copain et souper ensemble. Avez-vous déjà vu et entendu manger les indiens ?

De toute façons, ils sont bruyants et ne font que peu de cas de ceux qui les entourent. C’est comme ça en Inde !

Bon, on a pas si mal dormi finalement, même si l’on s’attache à son sac, son appareil photo avant de s’emmitoufler pour la nuit.  Moi j’ai bien aimé, sauf l’attente probablement, mais c’est le genre de choses contre lesquelles il n’y a rien a faire.

Nous avons quand même cru comprendre qu’à certains endroits, il n’est pas possible de faire se croiser 2 trains, donc l’un attend que l’autre passe et ensuite on redémarre.

En conclusion, les trains et l’ambiance des trains, c’est chouette.  Par contre, les gares et abords des gares, c’est un peu flippant.  Il y a énormément de monde qui attend les trains, assis par terre et à l’extérieur, l’ambiance est parfois glauque le soir.  Je ne trouve pas que les gens aient une manière particulièrement bienveillante.

Calcutta

Pourquoi Calcutta ?

Voilà bien une question qui est revenue quelques fois alors que nous envisagions notre itinéraire.  Avant de me laisser tirer en Inde par Pierre, si l’on me demandait de citer une ville du pays, Calcutta est la première ville qui me venait à l’esprit.  Idée probablement influencée par les livre et film « La Cité de la Joie » et par l’oeuvre de mère Teresa ».  A part cela, je n’y pensais pas et il ne me serait jamais venu à l’esprit de voyager en Inde.

Tout cela pour dire que, imaginant l’itinéraire, je n’aurais pas pu aller en Inde sans passer par Calcutta.

Calcutta - Vers le renouveau

 

La ville de « la cité de la Joie » et de mère Teresa.

Mais seulement ça  ?

La ville bouge et se modernise  !

 

Les vestiges du passé

Le Rajasthan

4 couleurs au pays des Maharajas

Jaïpur, la ville rose; Jodhur, la bleue
Udaipur, la blanche et Jaisalmer, la jaune.

Notre découverte du Rajasthan n’a pas été très positive.  L’impression de ne pas avoir découvert l’ambiance des mille et une nuits, de ne pas avoir pris le temps de s’attarder pour visiter tous les palais.

Deux raisons se rappellent à moi pour expliquer cela.  La première est le peu de jours que nous avions prévus dans la région, pour visiter 4 villes qui ont, chacune, des particularités et beautés à découvrir.

La deuxième raison est, je pense, le ras le bol que l’on ressent après 2 semaines de bruit, de monde, d’une espèce de harcèlement perpétuel de la part des indiens, et ce sentiment de toujours, plus ou moins, se faire avoir.

Il est à parier que si nous avions commencé notre voyage par la découverte du Rajasthan et y avions passé quelques jours supplémentaires, nous aurions pu en savourer toutes les merveilles d’antan.

Vers le Rajasthan

 

Jaipur, la rose

Jodhpur, la bleue

Udaipur, la blanche

Jaisalmer, la jaune

 

L’Inde pratique

L’itinéraire

 

Vu les changements de moyens de transport (voiture, train, avion), il est impossible de vous faire une carte globale de notre itinéraire.

Voici donc en quelques clics les différents trajets des 4700 km que nous avons parcourus.

De Agra à Varanasi en train
De Varanasi à Calcutta en train
De Calcutta à Jaipur en avion
De Jaipur à Udaipur en train
De Udaipur à Jodhpur en voiture
De Jodhpur à Jaisalmer en train

Après toutes ces étapes en train, voiture et avion, il était l’heure de retourner à Delhi pour notre dernière nuit avant le retour.

Les transports

 

Billet d’avion : Al Italia – Nous n’avons pas payé plus de 450 euros par personnes + les 2 vols internes Calcutta / Jaipur et Jaisalmer / Delhi

Nous n’avons pas loué de voiture.  Dans la mesure où nous nous sommes fait quelque peu arnaqués à Delhi avec toute l’histoire des billets de train, les quelques déplacements en voiture étaient compris dans le prix forfaitaire.  J’ai tendance à dire : heureusement !

Les trains : on en a parlé plus haut, mais franchement c’est à faire ! Evidemment, on a voyagé en première (à savoir qu’il y a 3 classes premières – et oui c’est très compliqué !).  Mais franchement c’est le seul moyen de dormir entre 2 destinations. On voyage souvent de nuit et on ne perd pas la journée en trajet. Et étonnement, on dort relativement bien.  Et ps : les fumeurs vont fumer dans les toilettes sous les ventilateurs … !

Il est possible de réserver les billets en ligne, mais il faut s’y prendre à l’avance car en ce qui nous concerne, cela ne fonctionnait plus à un mois du départ.  Raison aussi probablement pour laquelle, nous nous sommes fait avoir à Delhi par cette agence. 

Je ne peux décemment pas piquer les photos et les récits d’autres voyageurs donc, voici plus de détails via d’autres sites

Informations et liens utiles

1 Euro = 78,65 Roupies Indiennes

100 Roupies = 1,27 euros

Currency Converter

 

RAS

Nous n’avons pas eu besoin de GSM car nous n’étions pas sur les routes par nos propres moyens.

 

Passesport obligatoire

 

 

 

 

Ce ne sont pas les restaurants qui manquent : boui boui ou chics.

Mais nous avons adoré la « Street Food »

L’alcool, bière et vin sont un problème en Inde. Cela n’est souvent pas à la carte et si certains patrons acceptent de le faire « sous le comptoir », c’est cher.

Il est possible d’acheter de la bière ou de l’alcool dans des petites boutiques mais qui sont bien cachées. »

Le climat en février est ensoleillé et agréable, peu de nuage et nous n’avons pas vu la pluie

Comparateurs de vols : le meilleur pour moi reste Skyscanner ou google flight … ensuite pour des vols simples : jetcost

Et pour des vols combinés: opodo.  Après sur base de ce qui est renseigné, je conseille toujours d’aller voir sur le site de la compagnie aérienne (on serait surpris parfois). Petite remarque particulière pour des site comme opodo et bravofly (pour ne citer qu’eux) c’est qu’ls proposent des billets moins chers en payant une cotisation annuelle ! Parfois ça vaut la peine pour les « frequent flyers »

Bref: il y a tellement d’opérateurs qu’il faut prendre le temps de chercher et d’être flexible sur 1 jours ou 2.  Ca peut valoir la peine !

Convertisseur de devises : Currency Converty

Les hôtels: pour nous il n’y a pas photos: c’est booking !  Rarement eu un problème de réservation et si tel est le cas, le service après-vente est efficace.  On réserve, on annule, on peut contacter l’hôtelier qui répond dans les 24 h.  C’est top. Alternativement, Airbnb, ça marche super bien aussi

 

 

Petit mot de la fin

Le mot de la fin sera identique à celui du début : « L’inde, on aime ou on aime pas ».

Mitigé, est un terme qui ne convient pas à mon sens.  On a aimé certains endroits, évidemment, mais personnellement, même si je suis contente d’y avoir été et d’avoir vu de belles choses, globalement, je n’aime pas.

Je ne relèverai même pas ici le fait de la misère ! Elle est omniprésente dans de nombreux pays, pas besoin d’aller voir si loin.  Trop de gens, trop de pollution, trop de crasses partout. Je n’ai pas aimé leur manque de respect pour leur pays qu’ils souillent en permanence.

Gen & Pierre

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